Accident de chasse mortel à Eauze : n'en faisans pas une maladie

Avec ce niveau là de dégommés, ce ne sont plus des faisans qu'ils vont devoir élever pour les buter ensuite mais des chasseurs ! Les rangs de la racaille des talus fondent comme margarine au soleil. Faisons un rêve...Le viandard en voie de disparition...Par sa propre faute. Rien à faire sauf attendre qu'ils s'entretuent, juste inviter à accélérer la cadence en sollicitant un moratoire sur les règles de sécurité. Laissons-les cheminer arme chargée non cassée, baissons la TVA sur le pinard s'il est consommé tôt le matin, toutes ces mesures de bon sens permettront une auto régulation efficace et non maîtrisée.
On aura du bel accident, bien velu et rustique. À l'image de celui qui est survenu dimanche 23 septembre à Eauze (Gers), en bordure de la route de Sauboires.
Il chassait du faisan justement, ces bestioles qui sont élevées en grandes volières, achetées (13 € le coq) et relâchées l'avant-veille de la partie de tuerie.
Il a tenté de franchir un fossé abrupt et profond, et s'est vautré. Comme il portait son flingot chargé, le coup est parti et il a tout pris dans la poire.
Il est devenu extrêmement mort, ce qui ne m'étonne pas plus que ça, vu que ce genre de truc, c'est fait pour tuer. Non ?

Comments

[Régis]

Parfait, Tao (comme d'hab). Rien à ajouter. Ah si, c'est un asquident de sache. Ben oui.