Accident de chasse mortel : rien à foutre car burne to be wild
Il avait cru apercevoir un sanglier, un machin qui bougeait dans le truc près de cette chose. Il avait donc tiré et, de ce fait, proprement descendu un pote de chasse.
Cette liquidation à l'amiable avait eu lieu à Nonac, en début d'année 2009. Tu penses bien que ce blog admirable avait relaté cette bavure comme il se doit.
Si t'as pas la rame, reporte-toi à mon article du 10 janvier.
Le tueur avait écopé d'une peine classique, c'est-à-dire presque que dalle. Deux ans avec sursis, du pipi de chaton ! Le pire, pour lui, c'était bien sûr le retrait, pour 5 ans, du permis de buter. Comme on peut être rambo et con à la fois, notre homme a fait l'homme et a continué comme si de rien n'était.
C'est ainsi qu'il s'était fait gauler par les agents de l'ONCFS pour avoir chassé depuis une palombière de Saint-Amant-de-Montmoreau, le 30 octobre 2012.
Alors là, à ce moment de ta lecture, tu te dis qu'il a dû prendre cher. Non respect d'une décision judiciaire, sous le coup d'un sursis, ça allait bastonner sec.
Il s'est chopé 3000 euros d’amende. Son avocat ayant expliqué qu’il s’était laissé prendre "dans le feu de l’action".
Elle est pas belle la vie ? J'en ai connu qui ont pris du placard pour beaucoup moins que ça. Mais la racaille des talus a ce pouvoir étrange de pouvoir exécuter n'importe qui sans craindre la rigueur de la justice.