Tu ne tueras aucun être vivant et tu ne feras de mal à aucun
Soyez-en assurés, j'ai bien compris le message du proverbe africain qui dit que, certes, la lionne n'a qu'un petit mais que ce dernier est un lion.
Pour ceux qui ont l'esprit embrumé ou frigorifié, ça veut dire que quantité n'est pas forcément synonyme de qualité.
Si je vous balance les quelques chiffres qui suivent, ce n'est pas par gloriole ou vanité déplacée.
Entre nous, il n'y a pas de gêne à avoir. Ce n'est pas le genre de la crémerie que de tortiller des fesses en minaudant.
Je suis content, tout simplement, d'avoir réussi à capter autant d'intérêt, d'attention sur une thématique vraiment pas folichonne.
Des fois, les sujets que je traitent prêtent plutôt à pleurer, quand ce n'est pas à indignation et colère.
Ce n'est pas bal à tous les étages, plumes et paillettes, actualité futile, sujets à la con, coucheries de peoples, analyses à la mode TF1, propos nombrilistes...
J'ai pris le parti de causer de problèmes et de questions souvent tristes, rudes dans leur approche et finalement très peu abordés.
J'ai fait le choix d'exprimer ouvertement ma détestation des chasseurs, des aficionados et de tous ceux qui exploitent, mutilent, blessent, tuent, moquent et ridiculisent nos frères en animalité.
J'ai crié ma crainte, ma rage et mon pessimisme vis-à-vis des atteintes (et de leurs effets souvent irréversibles) à l'environnement, à la biosphère.
J'ai vilipendé les Diafoirus qui se penchent sur notre planète malade et qui, en plus de leur incompétence, nous infligent leur lâcheté mercantile, prêts à tous les honneurs en échange de leurs reniements.
Tout ça pour dire que le blog et ses 3 autres copains (qui sont, comme celui-ci précisément, des blogs miroirs, créés à effet de contourner la censure) ont accueili un peu plus de 100000 visiteurs, qui ont eu l'heur de lire 432 articles et de poster 2105 commentaires.
Je ne pensais pas, en ouvrant un blog il y a 16 mois que ça exigerait autant de boulot.
C'est un taf gratifiant, pas du tout ingrat.
Et ça grâce à vous, mes biquets et biquettes.
Je vous salue, vous les lecteurs qui m'accompagnez dans ce labeur.
Désormais, je sais que vous êtes partout, de la Malaisie à la Pologne en passant par l'extrême nord-ouest de la Norvège (tu bosses sur une plate-forme pétrolière, estimé visiteur ?) et le bassin du fleuve Congo.
Sans oublier les italiens, les espagnols, les algériens, tunisiens, marocains, belges et suisses (nombreux), slovaques, américains et canadiens.
Et tous les autres ...
On continue !
Dont give up the fight !
" En secourant par exemple un insecte qui se trouve menacé, je ne fais rien d'autre que d'essayer de restituer aux animaux dans leur ensemble un peu de la dette coupable, toujours renouvelée, que les hommes ont contractée envers eux".
Albert Schweitzer