Du mou dans la corde à noeuds
Voici le papier publié sur mon blog hébergé par Le Monde.
Aujourd'hui, pas d'article !
Enfin, pas vraiment.
Je m'adresse à toutes celles et tous ceux qui aiment la vie et abhorrent la souffrance.
Je vous cause, à vous qui n'avez pas une intelligence précuite et une sensibilité congelée.
Les autres, cassez-vous, miliciens de la ruralité, tortionnaires du dimanche, nostalgiques du kaki faisant régner l'ordre dans les esprits et les campagnes, aficionados peine à jouir.
Car je rappelle que le blog que vous visitez en ce moment a donné naissance à de vigoureux gaillards, en tous points identiques à leur daron (un daron, c'est un dabe, un pater si tu préfères).
Et que, grande loi de la nature oblige, il va devoir s'effacer pour laisser place à ces 3 lascars qui, ma foi, se portent plutôt bien.
Bien sûr, il aurait bien voulu garder sa place mais, trop exposé aux vents mauvais, il tremble, attaqué de toute part par la moisissure.
Ecume naissant aux commissures de leurs lèvres gercées par les patrouilles, les ennemis des animaux, de la nature, font tout pour hâter la fin.
Ne t'affole pas Carole, ya pas le feu au lac mais j'aimerai bien que tu notes, définitivement, qu'il est préférable de fréquenter ce blog ici : http://taomugaia.canalblog.com
C'est pas compliqué, bordel !
Mais ne t'inquiète pas : avec ma faconde habituelle, je te rappelerai à ton devoir.
Tu devras changer tes habitudes, Gertrude. Organiser tes favoris différemment par exemple.
Je remets le couvert : dirige-toi vers là http://taomugaia.canalblog.com à partir de dorénavant.
Crois-moi, ça vaudra toujours le coup.
Les autres, ils pourront toujours tressailler et trépigner de rage... Le malheur les emportera !
La photo de ce lièvre est extraite du blog de deux amis, Jean-Marie et Anne-Marie.
Ce sont des photographes animaliers, de véritables photographes animaliers devrais-je dire, car ils saisissent la vie animale et végétale dans ce qu'elle a de plus merveilleux à espérer : échapper à la prédation imbécile de l'homme.