Antón Cortés aura besoin de rustines
Comprends-moi bien, Fabien ! Si je te demande de faire cet effort oh! combien modeste, c'est parce que l'article que tu liras demain samedi ici-même exige que tu fasses quelques travaux d'approche.
Je vais te poser 2 questions; prends ton temps pour y répondre. Ce n'est pas la peine de me communiquer tes réponses.
Tu as bien compris que c'est pour ton bénéfice exclusif, ce petit exercice !
Tu pourras ensuite mieux apprécier l'article de demain. Si tu es bien disposé, mets-toi à réfléchir sur le sens, le pourquoi du comment de tes réponses.
1 ) Accepterais-tu d'abattre un arbre vieux de 60 ans ? Si oui, à quelle condition ?
2) Quand tu vois un gosse arracher, gratuitement, des fleurs sur le bord d'un chemin ou d'une route, tu le rabroues, ça t'agace simplement ou ça t'indiffère ?
Passons à autre chose.
Le noeud qui danse la gigue, sur la photo, c'est Antón Cortés, un matador natif d'Albacete.
Il s'est fait dérouiller par son second toro, à Madrid, hier jeudi 08 mai.
Touché au niveau de la fosse iliaque (beurk).
Peut-être aura-t-il du mal à s'accroupir pendant quelques temps ?