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Ça branle dans le manche
16 juin 2008

Corrida : Verónica Rodríguez ou les lésions dangereuses

VERO

Véronique, Véronique...
Celle qui rit quand elle maltraite.
Celle qui pleure quand le toro la nique.

Verónica Rodríguez habite Murcia (Espagne). C'est une jeune fille qui, plutôt que de s'adonner aux joies de l'existence, préfère faire souffrir et faire crever des animaux.

Jolie fille mais vérolée de l'intérieur.

Quel dommage ... Elle a choisi les tourbillons et les courants de la mort.

Un jeune toro de l'élevage d'El Palmeral lui a appris les choses de la vie ce dimanche 15 juin.

C'est à Aire-sur-l'Adour (3ème à gauche après le bistrot mais je tiens un itinéraire de rechange à ta disposition si tu ne trouves pas) que ça s'est passé.

Dans l'arène de cette commune de glandus.
Car cette ville de 6000 habitants (Landes) aussi attirante qu'une diarrhée verte accueille, fiérote, cette tradition ressort de l'évolution morale de l'humanité : la corrida.

Verónica s'est fait choper de si belle façon qu'il faudrait conserver le coup de boule du toro dans le formol pour l'instruction des générations à venir.

Pas de plaies. Enfin, faudra creuser le truc après les examens.

Non, elle est tombée dans un semi-coma. En plein dans le potage, au milieu des grumeaux.

C'est bien simple : les spectateurs en ont eu pour leur pognon. Ils ont fait dans leur froc, je suppose.

Après avoir repris conscience à l'infirmerie de l'arène, elle a été dirigée vers l'hosto.

Si c'est pas du traumatisme crânien pur jus, je ne m'y connais pas.

Maintenant, il faut évacuer les bulles dans la tête de cette novice en sadisme. Faudrait pas qu'elle perde son air expressif.

Je te tiens au courant.

Comme t'es sympa, demain, tu auras droit à une gourmandise. 
Yes ! La 'star' de la corrida, à savoir José Tomás, s'est fait démolir, sans permis, de la cave au grenier.
Faut pas rater ça !

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Commentaires
G
Que ce soit une fille ne me choque pas plus que ça. Le traumatisme crânien, on peut éspérer pour tout le monde, lui fera prendre conscience de la cruauté de son gagne-pain.
G
On appelle ça une femme libèrée... Des derniers neurones qui la distinguait de la brute épaisse !
S
Un traumatisme crânien, ça peut provoquer un déclic...
M
Triste de se dire que la relève est assurée dans ce domaine......y compris avec des filles.....Moche......
G
Encore une qui a voulu réclamer l'égalité des sexes en voulant aller torturer les taureaux comme les autres sanguinaires...!<br /> Pourvu qu'il lui reste plus de deux neurones pour qu'elle réalise que jouer à ce jeu c'est dangereux et plus d'actualité.<br /> Et au passage un grand merci à mon St Encorné qui lui a délivré des indulgences gratuites ; les prochaines sonnantes et trébuchantes risquent de l’envoyer « Ad Patres »
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