Palombe d'un doute, les viandards sont malheureux...

Why do birds suddenly appear
Every time you are near?
Just like me, they long to be
Klaus to you.
Why do stars fall down from the sky
Every time you walk by?
Just like me, they long to be
Klaus to you.

D'après, très approximativement, la célèbre chanson des Carpenters

Qu'il est réconfortant de lire de telles lignes ! Comme on a envie d'être, à ce moment là, une petite araignée, tenant sa tasse de café chaud dans le creux de ses paumes tandis que les autres doigts courent sur le clavier pour faire partager la bonne nouvelle...

Car oui, mon bon, ma mie, les viandards sont malheureux. Ils pleurent. Pas tous certes mais un bon paquet. Ceux du Sud-Ouest notamment.
Sur une ligne de Condom à Cazaubon, du Lot-et-Garonne aux Landes, c'est la désolation. Le coeur étreint par la tristesse, les paloumayres (snipers de pigeons ramiers) constatent ainsi que les espaces boisés, sur les crêtes, en tout point parfaits pour ériger des palombières, sont détruits à près de 80 %.
Pour ce qui est des cabanes sur les arbres, elles ont pratiquement toutes disparues.

Le quotidien La Dépêche rapporte donc la misère des chasseurs après le passage de la tempête Klaus. Je t'en ai déjà parlé bien sûr mais j'insiste; car il est est doux à mes yeux de lire que " plus encore que la chasse à l'affût et au fusil, c'est celle au filet qui est sérieusement compromise. En effet pour poser un vol, et le regrouper peu à peu au centre d'une clairière, il faut un environnement impeccable, caché, mais sans trop de broussailles. Les forêts et les bois châtiés par Klaus sont un enchevêtrement impossible de branchages qui auront séché à l'hiver prochain".

Tu l'as compris très vite, les palombes ne reviendront plus se poser dans le coin, sinon vite fait, pour admirer les ruines de ces cabanes à la con.

Moi j'appelle ça des cabanes à la con. Eux, des "installations d'ingéniosités pour agiter les appelants au bon moment et leur faire battre les ailes pour poser un vol, qui sont souvent les résultats d'années et d'années de travail."

Tout est par terre. Transformé en bûchettes.

L'adage dit qu'il ne faut pas se réjouir du malheur d'autrui. Va dire ça aux palombes !

Comments

[MORSLI]

...si tu savais en plus comme je me marre quand les joueurs dont on parle et que l'on vomit se cassent quelque chose : je les regarde gigoter avec plaisir.
Cette chanson, je l'ai écoutée au moins cent fois et avec le même plaisir.Un ami m'avait prêté pour un an au moins les intégrales de Brassens et de Brel : quel bonheur et que de chefs d'oeuvre méconnus.Bon w-e !

[azer]

Merci beaucoup ! Ca fait très longtemps que je n'ai pas écouté cette chanson , étant donné que je n'ai aucun album de Brassens ! Mais une seule écoute suffit à s'en rappeler à jamais , comme tout ce qui est génial . Je me demande quel est le passage que je préfère ...
En échange , je t'offrirai l' intégrale des perles de Daniel Herero , avec des pruneaux , parce que ça constipe ( pas les pruneaux , les perles d' Herero !!! )
:-)))

[MORSLI]

...doute quant au fond de ta pensée : cet imbécile ne comprend pas qu'on puisse aimer la pâtisserie sans aimer forcément les pâtissiers.Tiens pour te faire plaisir, à toi Azer et un peu moins au tueur voici les paroles de la chanson :
de l'artiste Georges Brassens.

Voici les paroles ou lyrics de La ballade des gens qui sont nés quelque part interprétées par Georges Brassens :

C'est vrai qu'ils sont plaisants tous ces petits villages
Tous ces bourgs, ces hameaux, ces lieux-dits, ces cités
Avec leurs châteaux forts, leurs églises, leurs plages
Ils n'ont qu'un seul point faible et c'est être habités
Et c'est être habités par des gens qui regardent
Le reste avec mépris du haut de leurs remparts
La race des chauvins, des porteurs de cocardes
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part

Maudits soient ces enfants de leur mère patrie
Empalés une fois pour toutes sur leur clocher
Qui vous montrent leurs tours leurs musées leur mairie
Vous font voir du pays natal jusqu'à loucher
Qu'ils sortent de Paris ou de Rome ou de Sète
Ou du diable vauvert ou bien de Zanzibar
Ou même de Montcuq il s'en flattent mazette
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part

Le sable dans lequel douillettes leurs autruches
Enfouissent la tête on trouve pas plus fin
Quand à l'air qu'ils emploient pour gonfler leurs baudruches
Leurs bulles de savon c'est du souffle divin
Et petit à petit les voilà qui se montent
Le cou jusqu'à penser que le crottin fait par
Leurs chevaux même en bois rend jaloux tout le monde
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part

C'est pas un lieu commun celui de leur connaissance
Ils plaignent de tout coeur les petits malchanceux
Les petits maladroits qui n'eurent pas la présence
La présence d'esprit de voir le jour chez eux
Quand sonne le tocsin sur leur bonheur précaire
Contre les étrangers tous plus ou moins barbares
Ils sortent de leur trou pour mourir à la guerre
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part

Mon dieu qu'il ferait bon sur la terre des hommes
Si on y rencontrait cette race incongrue
Cette race importune et qui partout foisonne
La race des gens du terroir des gens du cru
Que la vie serait belle en toutes circonstances
Si vous n'aviez tiré du néant tous ces jobards
Preuve peut-être bien de votre inexistence
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part

Bon appétit Lolo.

[azer]

Sois rassuré : je ne confonds rien !
Sauf la tête de loloccitan avec un ballon : il y a un point commun évident !
Rien que son pseudo annonce la couleur : un imbécile heureux qui est né quelque part et qui porte fièrement les couleurs du lopin de terre où il est né ! Il sort de son trou pour aller tuer à la chasse ...
Je préfère ne pas imaginer la teneur des troisième mi-temps !

[azer]

Où sont vos arguments ?
Vous êtes incapable de comprendre que vous vous croyez plus viril que vous ne l'êtes : simplement capable de pousser et courir ou de tuer des animaux .
Incapable de comprendre la différence entre un sport individuel ou il est impossible de tricher ( la boxe , mais je pensais qu'aux cascades de Bébel ! ) et un sport collectif tellement correct que jamais , ô grand jamais ! , un joueur n'en piétine un autre immobilisé sous un regroupement , de préférence quand l'arbitre ne peux pas voir ... ( parlez-moi du " reuking " , si c'est la bonne orthographe ). Sans parler des vidéos sur le net de matchs amateurs qui dégénèrent en bagarres dignes soit d'une cour de collège ( et encore !), soit d'une ratonnade ! Viril mais correct ? Vous vous prenez pour ce que vous n'êtes pas : il n'y aucun courage à pratiquer le rugby , pas plus qu'à prendre une arme pour tuer un animal . Je ne vous demande pas si vous comprenez : je sais que non .

Et vous confirmez par votre " Et votre exposé (sans que personne ne vous l'ai demandé ni même abordé le thème...!!! ) " ce que vous annonciez par " paloumayre n' a pas à dire quoi que ce soit sur mes voyages ..." : vous aimez commander , faute de savoir vous justifier . Si vous saviez à quel point je me moque de votre autorisation pour aborder un sujet ! Et vous ne comprenez définitivement pas pourquoi je compare la dangerosité des sports : simplement parce qu'on ne peut pas se dire viril en l' absence de danger , mais tout au plus " fort " , ce qui est le cas des rugbymen professionnels . Vous allez donc continuer à faire le coq , ce qui est bien la preuve que vous en avez l'intelligence . Je vous fais remarquer que vous avez abordé le sujet de la virilité dans le sport dans votre commentaire du 1/05 à 12:23 , soit avant mon exposé .
Mais comme je parle toujours de ce que je ne connais pas , vous allez m'instruire : faites la liste des accidents de rugby , et comparons avec celle des sports à risque ( parapente , alpinisme ... et même le cyclisme qui n'est pourtant pas classé comme tel ! ).
Et pour apprécier les ultimes ressources de votre encéphale , expliquez-moi enfin : " ce n'est pas comme cela que vous aurez un jour la plus "grosse" (sans connotation avec le message de chrisboubou) , mais vous m'aviez compris !!! " , car je ne vous comprends pas . Pourquoi des guillemets à " grosse " ? Les guillemets indiquent qu'on attribue un sens allusif au terme concerné , sinon on n'en met pas . Sans guillemets , le mot " grosse " ( attention , on emploie aussi les guillemets pour citer un auteur ! ) n'aurait pas de sens : grosse culture , grosse intelligence , grosse prose ... passent encore , et encore ! Or , vous employez les guillemets sans autre mot après : dans ce cas , " grosse " désigne le sexe ( la bite si vous voulez ). Ce qui ne vous empêche pas de prétendre qu'il ne s'agit pas d'une allusion à connotation sexuelle .
C'est un simple constat : vous êtes con . Un con basique , qui se contredit sans même s'en apercevoir : inconscient de votre connerie , vous ne pouvez que voir des cons parmi vos contradicteurs . Il ne vous reste que " mdr " , mais dans votre cas , il s'agit du rire de celui qui n' a pas compris une plaisanterie ...

Pour finir , j' attends toujours les références du " on se comprend " dont vous m' attribuez la paternité . Et , de grâce , ne me répondez pas que je vous donne des ordres , et que je fais preuve d'une autorité que je vous reproche ( avec votre réflexe du " c'est le premier qui dit qu'y est " , on ne sait jamais ! ) .
Sinon , vous avez trouvé pourquoi les rugbymen sont en moyenne plus lourds que les autres sportifs ? Vous qualifiez toujours de " grotesques " les questions auxquelles vous ne savez pas répondre ?
Promis , je vous donne la réponse la prochaine fois . Juré , quand vous arrêtez d' être con , j' arrête de vous le dire . Pas demain la veille !
Car pour l' instant , vous vous incrustez dans un dîner particulier auquel vous n' avez pas été convié ...
Bon appétit !

P:S : respirez calmement avant d' écrire : on sent dans la tournure de vos phrases auxquelles il manque des mots que vous n' êtes pas du tout " mort de rire " , mais que vous riez jaune ...
Et pour paraphraser Roger Couderc(t?) : " Allez le petit !!! "