Corrida : rectum premier des désastreuses aventures de Juan Luis Serrano

L'été poussait ses derniers feux cet après-midi là à Navacerrada (Madrid).
Il y avait cette lumière particulière qui annonce les premières brumes de l'automne, lumière qui rendait le sang moins vermillon, plus orangé.
Un oeil attentif pouvait voir les effets des rayons davantage monotones du soleil sur le rectum de Juan Luis Serrano.

Oui, ce qui se passait ce samedi 05 septembre dans cette arène était étonnant.
Un jeune toro avait embroché le banderillero Juan Luis Serrano jeté à terre.

Il avait ajouré la zone péri-anale (pour les ignorants, c'est le pourtour de l'anus) du pantin déguisé en danseuse sur une distance de 22cm !
La paroi abdominale a été touchée, l'espace recto-vésical a été laminé, le rectum a été perforé et on arrêtera là, n'est-ce pas, car c'est dégueulasse tout ça, ya des enfants qui regardent et on va bientôt passer à table.

Comments

[lecracleur]

àchaque"sport"ses desagrements la bête n'est pas folle et se défend .sur ses entrefesses comme dirait un pharmacien vendeur de thermomêtres.

[Martine Réunion]

En effet, Hervé.....Franchement, juste avant de passer à table et un dimanche en plus !!!!!
Oui, petit toro......ça ne t'aura sans doute pas sauvé la vie.....mais ce que tu as fait....c'est bien......

[Serge]

Ainsi donc les voies du saigneur sont pénétrables… Intéressant…Très… Un petit BFPSC (C=cul) est de circonstance ! :o)

En voilà un qui a le troufignon taillé en pointe ! Vas y El toréro, vas y ! Lâche toi maintenant, là, serre les fesses !
Et toi le toro « lacère les fesses » !

@ Morsli: OK copain! Je passe te voir !

[Chris]

...anesthésie??

[Dingo]

Description, simple, propre, concise. Et la poésie n'est pas loin.

Je n'ai aucun problème pour digérer devant le sang qui coule et les viscères dévoilés quand ce ce sont ceux de la cruauté.

Même un petit rot de satisfaction.