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Ça branle dans le manche
15 février 2011

Le cri de la carotte

cri

Tiens, je ne vais pas me gratter... Pour parler de la parution récente du bouquin de Sandrine Delorme "Le cri de la carotte", je vais laisser faire celui dont c'est le métier et qui sait de quoi il retourne; son éditeur (Les points sur les i).
Sache que les illustrations, vraiment chouettes, sont l'oeuvre d'Insolente Veggie, qui tient vaillament (bien qu'elle ne bouffe pas de cadavres) un blog référencé ici-même.

[…] Je suis devenue végétarienne parce que j’ai compris ce qui se cachait de l'autre côté de mon assiette. Pour le veau, comme pour tout autre animal devenu viande. Je n’avais alors aucune idée des conséquences, ni de la longue évolution qui m’attendait, ni de brusquement devenir, simplement parce que je changeais mon alimentation, une sorte d’objecteur de conscience. […]
Les mouvements pour le végétarisme, pour le véganisme et pour les droits des animaux ne cessent de préoccuper les consciences collectives et s’invitent de plus en plus souvent dans les médias.

Sandrine Delorme, à travers un récit de vie, drôle, nourri par de nombreuses réflexions, répond avec brio à une foultitude de questions : qui sont les « VG » ? Pourquoi et comment devient-on végétarien, végétalien, végane, militant de la cause animale ? Quels liens avec le bio, l’écologie, la décroissance ? Pourquoi s’occuper d’animaux plutôt que des humains ? Et quid des végétaux ? Enfin, les animaux ne se mangent-ils pas entre eux ?...

Le cri de la carotte propose de s'orienter vers une réflexion commune pour la cause animale; en effet, depuis quand un comportement ancré dans nos habitudes lui confère-t-il une légitimité ?

Aux omnivores, aux apprentis végétariens ou aux activistes des droits des animaux, cet ouvrage suggère de nombreuses pistes et aide chacun d’entre nous à élargir le champ de son humanité.

Préface de Jacques Boutault, maire du 2e arrondissement de Paris, où les cantines scolaires servent depuis janvier 2009 un repas végétarien hebdomadaire.

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Commentaires
T
ma bonté naturelle me perdra :o))
T
j'ai fait une faute d'orthographe !<br /> romancier né à paris.<br /> avec mes excuses
C
terrienne: waou, y'a pas à dire, t'es une vraie combattante: lutter pour la cause animale et tenter d'éduquer les chasseurs en parallèle? magnifique, je t'applaudis! bises...
T
azerbaïdjan ! je n'en puis plus !<br /> traduction pour la racaille des talus (ne les laissons pas mourir idiots) :<br /> azerbaïdjan, république transcaucasienne sur la mer caspienne.<br /> philippe djian, romancier née à paris en 1949, auteur de 37°2 le matin.
F
Epervier malingre avoir toujours été profondément ennuyé par prose du parolier préféré de Stéphane Eicher donc lui constater que pour poésie, encore une fois Azer bat Djian.<br /> <br /> (Pas la tête, pas la tête !)<br /> <br /> Le titre vous prévenait juste que le calembour à suivre allait être pitoyable...
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