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Ça branle dans le manche
23 février 2011

Le cochon qui chantait à la lune

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Le dernier livre de J. M. Masson sort aux éditions One Voice ! Découvrez, à travers une multitude de témoignages et d’observations, la vie émotionnelle des animaux de ferme, dont la sensibilité demeure méconnue du plus grand nombre.

Une collaboration passionnante
Jeffrey Moussaïeff Masson et One Voice ont décidé de s’associer pour l’édition de la traduction française du  "Cochon qui chantait à la lune".
Pour cet auteur de best-sellers, spécialiste de la vie mentale des animaux, comme pour l’association, un seul objectif : contribuer à ce que les animaux soient mieux connus du grand public, pour mettre un terme à leur exploitation. Avec ce livre, l’accent est mis sur les animaux élevés dans les fermes : cochons, vaches, moutons, chèvres, poules et canards.

Des cochons surprenants
Dans son nouveau livre, Masson fait définitivement tomber les idées reçues concernant les cochons. Leur personnalité, autant que leurs comportements sociaux et leurs préférences alimentaires les font étrangement ressembler à nos semblables. Il décrit des animaux intelligents et attachants, qui remuent la queue comme les chiens lorsqu’ils sont contents et sont capables d’aimer les humains, sans doute bien plus que de raison...

Des poules qui câlinent
Masson raconte aussi comment se comportent les poules lorsqu’elles ne craignent pas l’humain, rapportant notamment le cas de certaines aimant beaucoup se faire câliner… Il relate aussi l’histoire de l’une d’entre elles, particulièrement taquine, qui prend un malin plaisir à faire sursauter un chat.
Les poules acquièrent grâce à lui une identité, et s’avèrent, bien plus que des volatiles stupides, des oiseaux sensibles capables de choses surprenantes lorsqu’on leur permet seulement d’exister et de nous faire confiance !

Des facéties des chèvres aux canards pacifiques
A travers une multitude d’anecdotes, de rencontres et d’observations, Masson lève le voile sur les animaux les plus intensément exploités. Il nous livre ainsi de fascinants témoignages sur les facéties des chèvres et leur grande intelligence, mais aussi de belles histoires d’amitiés entre des moutons ou des veaux et, plus surprenant encore, celles de canards pacifiques et altruistes...

Changer le regard
Au fil des pages, on comprend que si nous ignorons tant de choses à propos de ces animaux, c’est sans doute parce que nous ne voulons pas les connaître, pour pouvoir continuer à les exploiter - impunément. Car une fois que l’on a ouvert les yeux sur le trésor de leur existence, on ne peut plus les considérer comme d’insensibles machines à produire...

Extrait de l’avant-propos :
« (…) La plus terrible de toutes les injustices consiste à ôter la vie à un animal, QUEL QU’IL SOIT, car il ne peut plus exprimer sa raison d’être qui est simplement d’être, d’exister et de faire tout ce à quoi son évolution l’a conduit : ressentir des émotions, nouer des relations, vivre en liberté dans un environnement naturel sans être exploité par un autre être. Il n’existe aucune excuse pour tuer un animal et nous devons nous garder des tentatives de justification au nom de la nécessité ou d’un droit divin.

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Commentaires
A
Notre président d’honneur et co-fondateur du CRAC, Jacques Dary, a récolté en quelques semaines plus de 100 signatures de vétérinaires. Son action démontre que rien ne vaut le contact direct et que plus de 90% des vétérinaires sont prêts à signer pour l’abolition de la corrida. Il suffit de les rencontrer ! Afin d'activer le ralliement des vétérinaires, tout récemment, des militants de la cause ont déjà rejoint notre président d’honneur. La première est une <br /> du CRAC Europe, qui vient d’obtenir près de trente signatures. Bravo à tous les deux !<br /> <br /> <br /> <br /> A son tour, le CRAC Europe se met au service du collectif des vétérinaires abolitionnistes initié par le professeur JF Courreau de l’école vétérinaire de Maisons-Alfort, le docteur vétérinaire Nathalie Milhas et le docteur psychiatre Jean-Paul Richier : http://www.veterinaires-anticorrida.fr/<br /> <br /> <br /> <br /> Vous pouvez à votre tour contacter votre vétérinaire (une bonne façon de savoir si vous avez un « bon » vétérinaire !) et si vous avez le temps ceux de votre ville ou de votre département. Pour la marche à suivre, merci de contacter Jacques Dary : jac-dary@orange.fr<br /> <br /> <br /> <br /> Par ailleurs, Jacques Dary, jeune homme de 80 ans, prévoit un tour de France des vétos en camping car aux couleurs du CRAC Europe. Si vous voulez l’accueillir dans son périple et/ou le relayer sur le terrain dans son action, merci de le contacter : jac-dary@orange.fr<br /> <br /> <br /> <br /> Merci pour votre participation ! Et merci de rediffuser ce message au maximum !<br /> <br /> <br /> <br /> Dernière minute : Jacques Dary a obtenu la signature de Monseigneur Martin, ancien vétérinaire et évêque de l’Eglise orthodoxe !<br /> <br /> <br /> <br /> Bien à vous<br /> <br /> Pour l’équipe<br /> <br /> Jean-Pierre Garrigues<br /> <br /> Vice-président du CRAC Europe<br /> <br /> www.anticorrida.com<br /> <br /> http://www.facebook.com/notes/comite-radicalement-anti-corrida-europe-pour-la-protection-de-lenfance/les-veterinaires-et-la-corrida/195075163844775<br /> <br /> http://www.veterinaires-anticorrida.fr/
S
un livre de plus ,qui sera dans ma biblio,il as l'air original de par sa démarche
A
La plus terrible de toutes les injustices consiste à empêcher un animal de vivre sa vie.<br /> Car cela conduit à le tuer tous les jours.<br /> Il y a là une nuance.
T
Salon de l'agriculture: Sarkozy traite les écologistes d'extrémistes islamistes<br /> 20 Février 2011 Par Claude-Marie Vadrot<br /> <br /> En inaugurant le salon de l’agriculture, Nicolas Sarkozy n’a pas flatté le cul des vaches mais passé la main dans le dos des paysans industriels en traitant les écologistes d’extrémistes islamistes pour avoir publié quelques affiches acerbes. En prime de lecture: les six affiches de France nature environnement Au premier jour de ce salon présentée par son président, Jean-Luc Poulain, agriculteur de l’Oise, collectionneur de présidences et de postes officiels dans les organismes prônant l’agriculture intensive, le Président de la République a violemment condamné la (petite) campagne publicitaire lancée par France-Nature-Environnement pour rappeler les dangers de l’agriculture chimique défendue par la FNSEA et le ministère de l’Agriculture sur le thème lancé il y a deux ans au même endroit « L’environnement, çà suffit ». En oubliant évidemment de dire que la moitié des affiches conçues par cette association ont été censurées par la régie publicitaire de la RATP et que d’autres afficheurs l’ont refusé. Et aussi que le sondage publié par le Télégramme de Brest fait apparaître que 53 % des Bretons approuvent ces affiches. Nicolas Sarkozy a également oublié de mentionner que la ministre de l’Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet a refusé de condamner cette « protestation publicitaire » au nom de la liberté d’expression. Finira mal, comme la première fois, cette ministre... D’autant plus que son patron n’a pas hésité à comparer publiquement la campagne de FNE à l’extrémisme islamique. Un « coup double » en direction de l’extrême droite qui, curieusement, n’est pratiquement pas repris par les médias. Ces affiches ont le courage et le mérite de dénoncer le système agricole français au moment ou le président du Salon, planqué derrière quelques vaches et moutons bien lavés et peignés écrit (notamment) en présentant sa manifestation : « « L’édition 2011 du Salon International de l’Agriculture se place sous le signe d’une thématique appartenant à la fois à l’actualité et à l’histoire… Depuis moins de deux mois, en effet, le repas gastronomique français est entré sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. La distinction est de taille ! Symboliquement, elle consacre une certaine idée de l’excellence à la française. Plus concrètement, elle récompense le travail d’un nombre infini d’acteurs de l’agriculture et de l’agroalimentaire hexagonal. À commencer par les agriculteurs. Car sans eux… pas d’alimentation. Une agriculture forte, des entreprises dynamiques, un modèle alimentaire et des produits reconnus… À nos yeux, à ceux du monde entier, l’alimentation est belle et bien une composante majeure de notre identité commune. Elle redonne du sens au travail des agriculteurs qui produisent pour notre alimentation. Mieux, c’est, dans notre pays, la mieux habilitée à créer un lien soutenu et pérenne entre les agriculteurs et les citoyens. En ce sens,elle est à la fois une occasion quotidienne de partage et un facteur de cohésion, puissant et durable ». Défense de rire et de crier à l’escroquerie ! Ce texte illustre le double langage des responsables de l’agriculture « officielle » qui continuent à tenter de nous faire prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages ou, au choix, des vessies pour des lanternes. Des escrocs de l’environnement qui sont bien décidés à continuer à épuiser les terres, à nous empoisonner, à mener les petits agriculteurs à la faillite et au chômage, ne pas diminuer d’un kilo la quantité des pesticides et des engrais chimiques répandus sur le territoire français, alors que le Grenelle de l’environnement a « décidé » d’y mettre le holà et de favoriser l’agriculture biologique. Au contraire les paysans bio seront désormais moins aidés. Une fois de plus le milieu naturel (l’ours ou le grand hamster d’Alsace) par exemple) et la santé des Français vont pâtir de l’approche des élections cantonales, sénatoriales et présidentielles. L’idée, pour l’UMP et son responsable, consiste à donner satisfaction à la FNSEA pour qu’elle demeure l’un de ses agents électoraux les plus efficaces. Comme la censure et les moyens réduits de France-Nature-Environnement vont considérablement limiter la diffusion des affiches, Mediapart se fait un plaisir de vous les offrir en vous invitant à les diffuser largement.<br /> <br /> <br /> http://www.mediapart.fr/node/112220
T
et nuisible et cruel et pervers et saccageur et sadique, c'est l'animal-humain.<br /> il en apporte tous les jours la preuve irréfutable.
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